Burkina Faso:le taux de chômage au pas de course
Le chômage continue de gagner du terrain au Burkina Faso . Selon une étude sectorielle, pilotée par l'Institut national de la statistique et de la démographie (INSD) en 2014, le taux de chômage au Burkina Faso était estimé à 6,6%. Les projections de la même structure indiqueraient une hausse de ce taux en 2019.
La frange jeune est la plus exposée à ce phénomène selon plusieurs études. Une étude sur les douze dernières années notamment de 2008 à 2019 a permis de mettre à nu l'aggravation de cette situation au Burkina Faso. La tranche d'année de 2008 à 2019 dresse un tableau sombre de l'évolution de ce phénomène. Les résultats de cette étude montre que le taux de chômage continue de grimper dans le pays avec une nette amélioration chaque année. Celui des jeunes est en plein progression de 2008 à 2013 mais s'est encore aggravé de 2014 à 2019 a en croire les statistiques du tableau. Cela s'expliquerait probablement par la forte démographie et le nombre croissant de diplômé dans le pays.
De manière spécifique, les femmes comptent plus de victimes dans les rangs de ce fléau. En plus du nombre élevé de diplômés, les pesanteurs socio-culturels constituent les véritables handicapes pour les femmes dans leur quête d'emploi.
Alors que l'Organisation internationale du travail ( OIT) définie le chômage comme une situation de la main d'oeuvre disponible à travailler et qui est la recherche d'emploi sans succès, il est alors évident qu'il y a du chemin à faire pour juguler ce phénomène.
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La frange jeune est la plus exposée à ce phénomène selon plusieurs études. Une étude sur les douze dernières années notamment de 2008 à 2019 a permis de mettre à nu l'aggravation de cette situation au Burkina Faso. La tranche d'année de 2008 à 2019 dresse un tableau sombre de l'évolution de ce phénomène. Les résultats de cette étude montre que le taux de chômage continue de grimper dans le pays avec une nette amélioration chaque année. Celui des jeunes est en plein progression de 2008 à 2013 mais s'est encore aggravé de 2014 à 2019 a en croire les statistiques du tableau. Cela s'expliquerait probablement par la forte démographie et le nombre croissant de diplômé dans le pays.
De manière spécifique, les femmes comptent plus de victimes dans les rangs de ce fléau. En plus du nombre élevé de diplômés, les pesanteurs socio-culturels constituent les véritables handicapes pour les femmes dans leur quête d'emploi.
Alors que l'Organisation internationale du travail ( OIT) définie le chômage comme une situation de la main d'oeuvre disponible à travailler et qui est la recherche d'emploi sans succès, il est alors évident qu'il y a du chemin à faire pour juguler ce phénomène.
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